Chez Evolve, on observe que les Soft Skills sont souvent traitées comme des qualités « naturelles », « individuelles »… alors qu’elles doivent être soutenues par un cadre.
Surtout, elles méritent d’être structurées et boostées pour gagner en impact !
Et si on arrêtait d’en parler comme de jolis cocktails à la carte, pour vraiment apprendre à s’en servir… ou les servir ?
Les Soft, c’est pas que pour les happy hour
Des compétences pas si Soft
A force d’user du mot “soft”, on croit parler de compétences sympas, un peu bonus, un peu à la carte, qui dépendent seulement du bon vouloir ou de la bonne constitution d’une personne.
Or, on ne peut pas continuer de les traiter comme des qualités ou volontés individuelles présentes ou non présentes « par chance » chez nos collaborateurs. Les Soft Skills, mode d’emploi et définition, c’est par ici !
Il est surtout important de replacer le rôle de l’entreprise face aux Soft Skills de ses équipes. Car les soft, ce sont des comportements professionnels qui ont besoin d’un cadre clair. De devenir un projet collectif.
La nécessité d’un ancrage structurel
Les Soft Skills, c’est :
- une vision d’entreprise, qui dessine une stratégie
- un investissement dans votre capital humain
- un vrai levier de performance
- une affaire d’ancrage structurel
Et cela s’organise autour de rôles, d’attendus, et d’enjeux.
👉 Voir le schéma ci-dessous illustrant le rôle à jouer de chacun, à chaque niveau de l’organisation !
Et non, ce n’est pas juste espérer que chacun fasse preuve d’un peu plus d’écoute ou d’empathie !
– Caroline Dauvergne, formatrice et Consultante Soft Skills
RH, managers, dirigeants : qui doit piloter les Soft Skills ?
Des rôles complémentaire, autour d’un projet collectif
Une des premières étapes essentielle dans une démarche d’intégration des Soft Skills en entreprise, c’est de développer une logique de structuration des rôles autour des Soft Skills.
Dans une entreprise, tout ne repose pas sur la bonne volonté et sur les compétences initiales des collaborateurs :
- Les dirigeants posent la vision et la culture.
- Les RH traduisent ces valeurs en parcours, en critères, en compétences à développer, en outils de formations ou autre.
- Les managers ont alors un rôle de passeurs, d’évaluateurs, et ont aussi besoin d’outils pour soutenir le bon développement des Soft Skills.
C’est une vraie orchestration !
Comme dans un groupe de musique ou une équipe de sport : pas de cohérence sans système… Vous nous suivez ?
Comment orchestrer cette structuration autour des Soft Skills ?
Vous vous demandez comment identifier les rôles et les soft indispensables à chaque service ou personne ?
Faire appel à une experte comme Caroline Dauvergne, c’est adopter une méthode, pragmatique et progressive, pour avancer avec justesse, pas à pas et en comprenant où agir… avant d’agir.
Vous voulez en savoir plus ? Consultez sa page Conseil, ou bien prenez RDV !
Le regard de Caroline en vidéo
Vous préférez écoutez 1 minute d’explication cash ?
C’est par ici…
En vrai, les Soft, on les préfère au bar plutôt qu’au boulot !
Mais non, ce n’est pas juste des p’tits mojitos de compétence qu’on sort en afterwork pour briller à la machine à café.
Souvent j’entends : les Soft, encore un truc pour les managers.
Pas que, les Soft Skills, c’est déjà la responsabilité de l’entreprise. Définir la culture, les postures attendues, clarifier la vision.
Sans ça, c’est flou.
Ensuite, les chefs d’orchestre, ce sont les RH. Ils traduisent les Soft Skills dans les métiers, les parcours, les recrutements.
Et là arrivent les managers.
Leur job, c’est pas d’être psy.
Par contre, pour faire vivre les Soft Skills au quotidien, il leur faut des outils : feedback, rituels et postures.
Et si on arrêtait de penser que les Soft, c’est juste une histoire de bonne volonté individuelle… pour en faire un vrai projet collectif, structuré ?
En vrai les Soft, c’est pas juste une case à cocher, c’est un vrai projet d’entreprise.
Et vous dans votre boîte, les Soft y sont vraiment structurées, ou c’est encore flou ?